dimanche 24 février 2013

BRF


Bois raméal fragmenté.

Nous avions demandé à notre voisin, qui travaille à l'entretien de nos routes, un (petit) camion de branches broyées. Nous aurions préféré une livraison à l'automne, malheureusement c'est un travail qu'ils font en fin d'hiver.
Samedi un tas de 5 ou 6 m3 nous attendait au pied du gros frêne.
A vos brouettes et à vos pelles, travailleurs ...

Le tas, après une matinée et un début d'après midi de transport. Nous en avons utilisé les deux tiers environ. Le reste sera étalé la semaine prochaine.



Nous en avons mis au pied des arbres fruitiers en évitant de toucher les troncs.


Au pied des arbustes ou comme ici des groseilliers. Dans le jardin, Marie a tenté autour des fraisiers et framboisiers.


Et puis à l'emplacement d'une future haie (comme ici le long du hangar). Ces haies ne seront plantées que l'an prochain. D'ici là on se dit que l'herbe ne poussera pas trop et que ça préparera bien la terre pour la plantation. A suivre ...


La fin d'après midi fut consacrée au couloir du premier étage. Plus exactement au plafond. Dans ce couloir nous n'avons pas touché le plafond d'origine (un plancher sur poutres) trop moche. Nous avons décidé de le cacher. Comme les poutres ne sont pas de niveau, il faut d'abord les doubler de planches épaisses avant de fixer la volige de peuplier qui cachera la misère. Elle est bouvetée en 14 mm d'épaisseur et 2 m de long (le couloir fait 1,80 m de large) ...
Je m'interroge : mettre ou ne pas mettre une couche de laine de bois (par exemple) dans cet espace ? Sachant qu'au dessus il y a 35 cm de ouate de cellulose épandue sur le plancher (voir épisodes précédents, vers décembre 2011).
Une fois la volige posée le plafond sera encore à 2,50 m du sol : nous n'aurons pas trop à baisser la tête !


Dites, vous savez si le soleil reviendra un jour ?

Portez vous bien


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