lundi 15 novembre 2010

Du grenier à la chambre

Marie avait nettoyé le grenier sous les ardoises. Nous avons continué par mettre du mortier dans les quelques trous trouvé entre la maçonnerie et le toit.



Puis pose d'un frein-vapeur (sisalex 500) scotché avec de l'ampacoll (ça, ça colle). Si vous trouvez que le scotch ordinaire ne colle pas suffisamment, ne cherchez plus ! Mais c'est pas donné (40 € TTC le rouleau).
Pour améliorer l'étanchéité entre le plancher et les murs , nous avons finalement fait un gros cordon de mortier à base de chaux et de paillettes de lin, tout le tour.



Enfin, nous avons coupé des plaques d'OSB pour faire des caissons qui recevront la ouate de cellulose en vrac. Une trentaine de cm.
De ce fait, les trois ouvertures (on en voit une sur la photo ci-dessus) seront partiellement obstruées mais je pense que la ventilation du grenier et donc de la ouate sera suffisante.
Question cependant : quand nous faisions ces menus travaux il pleuvait ou bruinait (dehors !), et donc l'air était très humide dans le grenier ... La ouate peut elle supporter ce traitement ? l'enquête est en cours.

Puis descente dans la chambre du rez de chaussée pour avancer sur le doublage de la cloison qui sépare cette pièce de la salle de bain.


Liteaux verticaux, plaques de liège de 2 cm coincées, et pose d'un lambris grossier, large, à l'horizontale.
Nous ferons la même chose sur l'autre côté de la cloison (dans la salle de bain), mais probablement avec un lambris d'une autre essence (plus adaptée à l'humidité).
La cloison fera donc environ 13 cm d'épaisseur, dont 4 cm de liège.



Si on rajoute quelques achats de matériaux, une réflexion intense sur l'installation électrique de l'étage et quelques démontages de l'ancienne installation, on arrive au bout du week end.

Avec quand même un resto de grande qualité pour clôturer tout ça (merci Ginette !).


Ça vaut bien quelques soucis !

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