dimanche 22 janvier 2012

Pierres humides

Un temps à mettre dehors toutes les grenouilles du pays. Difficile alors d'utiliser le marteau piqueur.
Nous avons dégagé un poteau de plus et avancé encore vers le ciment.
Le mur de 50 cm d'épaisseur est en trois couches, comme toujours, me semble-t-il : deux couches (intérieure et extérieure) en belles pierres et une centrale en petites pierres , du tout venant. Ce sont quelques m2 d'une partie extérieure qui ont été remontés au ciment.
Dans notre élan nous avons gratté sous la partie cimentée et l'arrière de cette même zone. Nous nous sommes arrêté là car ça devenait risqué.


Et comme on en avait marre du crachin, nous sommes allés sous le hangar pour dégager la base du mur très encombrée de diverses choses et trier une bonne partie du bois : ce qu'on va garder, les fagots et ce qui ne vaut rien. Le bois va être stocké dehors, sous une bâche, en attendant de retrouver le hangar déplacé ...


Pour finir la journée, nous avons commencé la démolition au delà de la zone cimentée.


On se fait des biscotos d'enfer ! Par contre, le dos souffre, aïe, aïe, aïe !

Mais une petite fondue savoyarde le soir, ça vous requinque des travailleurs ...

Qui a dit "fondus" ?

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